Culture numérique et community management

J'ai demandé aux étudiant(e)s en Community Management de l'université de Nantes, dans le cadre de la licence éponyme dont je m'occupe, un petit exercice en guise d'évaluation pour conclure le cours de "culture numérique" que je donne chaque début d'année. 

La consigne était la suivante :

"En minimum 14 et maximum 28 tweets, racontez-moi l'histoire d'un concept, d'un site ou d'une personnalité selon vous caractéristique de la culture numérique et veillant à rédiger vos tweets en mode "thread" et à les enrichir au maximum de sources externes (articles, vidéos, etc.)"

Et voilà. L'occasion pour moi de vérifier que les éléments importants du cours ont bien été assimilés, mais aussi qu'ils ont eu la curiosité de ne pas s'en tenir auxdits éléments du cours, et puis aussi de voir si un certain nombre de codes (web) de l'écriture sont maîtrisés. Bref.

Si je vous raconte tout ça c'est parce que :  

  • Primo : je parle de ce que je veux 🙂
  • Deuxio : globalement j'ai plutôt été bluffé par la qualité du boulot et je pense qu'il peut être intéressant d'en faire profiter tout le monde. 

Donc voici les noms des étudiant(e)s et le lien vers leur sujet. Et bravo à elles / eux.

  • Thomas Encarnaçao nous parle de Mark Zuckerberg.
  • Ludivine Bourgeais s'est interrogée sur le Doxxing mais n'a dénoncé personne.
  • Nathan Bréant nous immerge dans les profondeurs du Deep Web sans faire l'erreur de la confondre avec le Dark Web.
  • Gaelle Hazevis a trouvé plein de chouettes infos vraies à propos des infos fausses, et nous raconte l'histoire des Fake News
  • Et comme le sujet est vaste, Pierre Flambard s'est lui aussi joint au concert des Fake News
  • Hugo Chahine nous explique la neutralité du net.
  • Estelle Bocquet a trop kiffé la Kakonomie
  • Marie Selo cherche à comprendre les logiques de l'influence.
  • Chloé Bosseau a des posters de Frédéric Kaplan (et du capitalisme cognitif) dans sa chambre.
  • Tony Esnault sent bien que le web c'est plutôt une industrie lourde que des nuages éthérés et nous présente la face cachée du web (pas le Dark Web mais les infrastructures cachées).
  • Clara Le Gal préfère le chef, Tim Berners-Lee
  • Chloé Devise fait des bulles, mais des bulles de filtre.
  • Elodie Burban n'a pas eu besoin de faire appel aux modérateurs de Twitter pour parler de la politique de modération (sur Facebook). 
  • Lucie Sabarly a lu et compris les enjeux du Code Is Law de Lessig.
  • Et Emmanuelle Marcadé n'est pas dupe de cette histoire de village global.

Voilà. Parfois les profs prennent du plaisir à corriger des copies. Et il fallait que cela soit dit 🙂

 
 

 

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